Avec la Finlande, la Suède et Singapour, la Suisse occupe la troisième place du classement établi par Transparency International.
Dans le dernier classement international de la corruption établi par Transparency International, la Suisse est en bonne position. Avec la Finlande, la Suède et Singapour, elle occupe la troisième place. Comme en 2019, la Suisse obtient 85 points sur 100. SOURCE AGEFI
Le Danemark et la Nouvelle-Zélande se placent en tête du classement des 180 pays et territoires, avec 88 points chacun, annonce Transparency International dans un communiqué. En queue de peloton, on trouve une fois de plus la Syrie (14 points), la Somalie (12 points) et le Sud-Soudan (12 points).
Le « Corruption perceptions Index » analyse la mise en oeuvre de la Convention de l’OCDE contre la corruption. La Suisse fait partie des pays qui mettent activement en oeuvre la convention.
Selon Martin Hilti, directeur exécutif de Transparency Suisse, les bonnes performances de la Suisse ne doivent pas faire oublier ses lacunes considérables dans des domaines qui ne sont pas mesurés dans le classement. Ce dernier mentionne notamment la lutte contre le blanchiment d’argent, la protection des lanceurs d’alerte et la corruption dans le secteur privé et dans le sport.
Selon Transparency, 26 pays se sont nettement améliorés depuis la première comparaison internationale en 2012, dont l’Équateur, la Grèce, la Guyane, le Myanmar et la Corée du Sud. La situation s’est nettement détériorée dans 22 pays, comme la Bosnie-Herzégovine, le Guatemala, le Liban, le Malawi, Malte et la Pologne. (awp)